lundi 16 juin 2014

Les meilleurs milieux poste par poste

Les meilleurs milieux poste par poste

Le milieu de terrain n'est pas le poste dont on parle le plus dans le football, mais c'est pourtant lui qui court le plus, qui doit faire le lien entre les défenseurs et les attaquants, qui récupère et anticipe... C'est un poste que j'aime beaucoup, voilà pourquoi je vous fait un article sur les meilleurs milieux.

 

Milieux défensifs : 

C'est un poste difficile qui demande une très bonne lecture du jeu, c'est lui qui anticipe et qui récupère. Il doit avoir un très bon jeu long.

- Xabi Alonso : Le milieu espagnol est un exemple du genre, il possède toutes les caractéristiques et qualités nécessaires de ce poste. Indispensable au Réal Madrid, il a été récompensé de ses années de travail et de progression par la Ligue des Champions gagnée cette année.

- Busquets : Pièce maitresse du Barca depuis plusieurs années déjà, on parle peu de lui mais il est un excellent récupérateur, parfois agaçant par ses simulations, mais il gratte un nombre incalculable de ballons.

- Daniele de Rossi : Le milieu de l'AS Rome est un excellent milieu récupérateur, le genre de milieu indispensable à une équipe. Il a des qualités défensives remarquables (très bons tacles, interceptions...) qui font de lui l'un des meilleurs à ce poste.

- Andréa Pirlo : Il est reconnu mondialement comme l'un des plus grand milieux italiens de cette génération. On ne se lasse pas de ces anticipations et ses passes de 50 mètres qui arrivent dans les pieds de l'attaquant. Un très grand joueur.

Milieux centraux :

C'est un poste très agréable à jouer, il faut une bonne possession de balle et une excellente vista (vision du jeu). Le milieu central oriente le jeu, c'est lui qui dicte le tempo.

- Yaya Touré : Ancien joueur du Barca, c'est à City et principalement depuis une saison que Yaya Touré est entré dans la cour des grands. C'est l'un des seuls milieu au monde à jouer les trois postes à la fois. Il récupère, relance, passe, marque, distribue, c'est une machine de guerre incarné par ce joueur ultra polyvalent. 

Bastian Schweinsteiger Bastian Schweinsteiger of Germany in action during the UEFA EURO 2012 group B match between Denmark and Germany at Arena Lviv on June 17, 2012 in L'viv, Ukraine.- Luka Modric : Elu pire recrue l'année dernière en Espagne suite à sa première saison moyenne, c'est cette saison et surtout en 2014 que Modric a pris une nouvelle dimension. Il répond parfaitement aux caractéristiques du poste car il a l'une des meilleures conservation de balle au monde et une qualité de passe extraordinaire.

- Schweinsteiger : Incroyable milieu du Bayern, Bastian Schweinsteiger récupère beaucoup de ballons mais peut aussi monter aux avants-postes pour apporter le surnombre a ses coéquipiers. Une machine ultra-complète.

- Toni Kroos : Ancien partenaire de Schweini au Bayern, Toni Kroos porte désormais les couleurs du Réal Madrid. Excellent à la Coupe du Monde 2014, il excelle dans la précision des passes et sa polyvalence au milieu de terrain font de lui l'un des tous meilleurs à son poste.
 
- Xavi : Il a vécu ses meilleures années sous l'ère Guardiola et fatigue un peu, mais garde toujours ses qualités qui ont fit de lui l'ambassadeur du "tiki-taka", le jeu de passes du Barca. Vista, précision et technique sont ses plus grands atouts. 

Milieux offensifs :

C'est un poste très apprécié et connu dans le foot, le milieu offensif joue souvent en soutient de l'attaquant, il doit savoir dribbler et avoir une qualité de passe impeccable, il doit aussi savoir percuter et dynamiter la défense.

- Andres Iniesta : Le meneur de jeu espagnol et barcelonais est considéré comme l'un des tout meilleurs milieux offensifs de la planète. Tout en finesse et en précision, Iniesta est aussi capable de jouer sur l'aile gauche, une excellente variante. 

- Di Maria : L'argentin du Réal Madrid, après avoir été repositionné en meneur de jeu par Ancelotti a été l'un des plus importants artilleurs de la conquête de la Decima du Réal Madrid. Ultra percussif et très agile, Di Maria a perfectionné sa palette technique, faisant de lui l'un des meilleurs à son poste.

- Mesut Özil : Ancien joueur du Réal Madrid où il a démontré tout son talent, Ozil a vu sa cote grimper avant d'être trasféré à Arsenal pour 50 M d'euros. C'est un numéro 10 à l'ancienne, qui s'exprime de la plus belle des manières dans un 4-2-3-1.

- David Silva : Pilier de City avec qui il a remporté le titre de champion d'Angleterre cette année, Silva est un des meilleurs joueurs de City et l'un des meilleurs milieux offensif au monde. Pouvant évoluer dans l'axe ou à droite, David Silva est un excellent meneur de jeu aux multiples talents. 

La France n'a fait qu'une bouchée du Honduras !

La France n'a fait qu'une bouchée du Honduras !

4 jours après l'ouverture de la Coupe du Monde, l'équipe de France affrontait le Honduras. Benzema était attendu au tournant et le Honduras était présent physiquement, mais cela n'a pas suffit pour déranger une EDF très bien préparée.

 

Les bleus étaient attendus au tournant :

Pour le premier match des bleus en Coupe du Monde, les joueurs français étaient attendus au tournant par les supporters. Les supporters français étant au match l'ont prouvé en chantant la Marseillaise en plein match alors qu'il n'étaient que 2000 sur 50 000 spectateurs. La presse aussi gardait un œil (voir deux) sur la prestation des joueurs français hier soir. 
Les conditions climatiques étaient idéales : 19°, Porto Alegre se situant au Sud du Brésil, ou il fait beaucoup moins chaud et le stade était presque rempli lors du coup d'envoi du premier match des Bleus.
La composition des joueurs de l'équipe de France était sans surprise, Deschamps ayant préféré Griezmann à Giroud, permettant à Benzema de jouer dans l'axe.

Le match : 

Avant le coup d'envoi, les deux pays auraient du chanter leur hymne nationale mais ce ne fut pas le cas, sans doute pour un problème technique.

La France a connu un début de match compliqué, les joueurs ne prenant pas de risques et perdant certains ballons. Mais la tendance s'est inversée, avec notamment de belles phases de possession de balle et des occasions franches. Jusqu'à ce que Palacios écrase la jambe de Pogba, ce dernier ne maitrise pas ses nerfs et fait tomber Palacios, les deux joueurs ont donc été averyis d'un carton jaune. Suite à cet arrêt de jeu, la France ne se remet pas dans le bon sens et perd légèrement la maitrise du match, jusqu'à ce que ce même Palacios donne un très gros coup d'épaule dans le dos du même Pogba lors d'un duel arien dans la surface de réparation hondurienne. Palacios est exclu, penalty pour la France sitôt transformé par son leader Benzema a quelques minutes de la mi-temps.

La seconde période est à sens unique et les Français ont la main-mise sur le match. Et la confirmation ne se fait pas attendre, sur une merveille de passe de Cabaye, Benzema se retrouve face au gardien hondurien légèrement à gauche de la surface et arme une splendide reprise de volée de l'intérieur du pied. Cette dernière s'écrase sur le montant de Valladares sur qui le ballon revient. Pas très agile, le portier Hondurien pousse malencontreusement le ballon dans son propre but. 2-0 pour la France et le but accordé contre son camp à Valladores. On rappelle que c'est le premier but accordé par la vidéo sur la ligne de but. 
Mais les français ne s'arrêtent pas là, ils font preuve d'une supériorité technique flagrante et subissent énormément de fautes de la part des Honduriens. Ces derniers ne font pas dans la dentelle et agissent jusqu'à devenir dangereux, un très mauvais état d'esprit. Les bleus ne se laissent pas déconcentrer et enfoncent le clou avec un troisième but du même Benzema sur corner, le ballon lui revient dans les pieds et le madrilène frappe en puissance juste sous la barre. 3-0 score final et sans appel !

Benzema omniprésent, Palacios problématique pour les deux équipes :

On fait ici un petit tour des joueurs qui ont marqué ce match, que ce soit positivement ou négativement. 

Palacios : Il aura livré une moitié de match, et heureusement qu'on a pas vu l'autre... Imprécis, violent voir même dangereux, il a réalisé une très mauvaise première période, car en voulant déstabiliser les français, il les a aidé en concédant le penalty, et a abandonné son équipe, qui a du faire sans lui.  

Benzema : C'est LA star de cette équipe de France et il 'a démontré à merveille avec 2 buts "et demi" digne des plus grands attaquants. Il s'est un peu cherché en première période, avant que son jeu se fluidifie suite a son pénalty. Il démarre le mondial de la plus belle des manières.

Cabaye : C'est lui qui fait la passe à Pogba avant le pénalty et encore lui qui adresse une passe longue sublime à l'attention de Benzema. Un match complet dans l'entrejeu, très bon offensivement, et propre et rigoureux défensivement.


dimanche 15 juin 2014

Fifa 14 : Le test PS4

Fifa 14 : Le test PS4

Chaque année, EA sports dévoile son petit bijou footballistique au monde entier. Un jeu qu'achètent les yeux fermés les plus grands fans de foot et de jeux vidéo. Ce Fifa poursuit-il sa lancée avec l'arrivée des consoles next gen ? On voit ça tout de suite.

 

Les modes de jeu : 

Fifa 14 regorge de modes de jeu, qu'ils soient en ligne ou hors ligne, on ne s’ennuie jamais avec la franchise d'EA Sports. 

- Les jeux techniques : Dans ce mode de jeu utile et fun permettant de passer le temps avant le match, on s'améliore de manière ludique pour chaque caractéristique de jeu (défense, tirs, dribbles). En effet, pour chaque catégorie, il y a 4 niveaux de difficulté différente.

- Le mode carrière : C'est l'un des modes le plus connu et apprécié de la communauté Fifa, et cette année, les développeurs nous avaient promis un mode carrière revisité et amélioré. Et bien, on reste un peu sur notre fin car le nouveau système de recrutement n'est pas sensationnel, et on n'a pas vraiment l'impression de faire partie de l'équipe, contrairement au mode carrière de NBA 2K14. En effet, on ne prend pas part aux séances d'entrainement, on ne peut pas voir le match du bord du terrain lorsque l'on est remplaçant, toujours pas de conférences de presse... Bref le mode carrière reste bon mais EA Sports a fait le strict minimum.

- Fifa Ultimate team : Le mode le plus joué de Fifa est toujours présent sur cet opus, avec des packs beaucoup plus nombreux pour les joueurs. Les styles FUT sont toujours présents, ils permettent d'améliorer certaines caractéristiques de vos joueurs (vitesse, tirs, tête...). Mais certains joueurs regrettent le gameplay différent de celui du jeu classique puisqu'il est plus rapide et le jeu est moins "posé".

- Le mode saisons : Dans ce mode de jeu, on peut affronter nos amis en ligne où un classement sera effectué après chauque match. Un mode de jeu amusant pour se confronter à ses amis.


Les graphismes : 

A chaque nouveau Fifa, les graphismes sont toujours légèrement améliorés, et cet opus ne déroge pas à la règle. Car sur Next Gen, le jeu est beau, soigné, mais il n'y a pas la claque graphique tant attendue. La beauté du jeu reste tout à fait agréable, les joueurs sont très bien modélisés, les stades aussi, mais graphiquement, ce Fifa 14 n'est pas comparable à un Killzone. Mais la qualité graphique est compensée par des améliorations réalistes.

En effet, c'est plutôt sur les détails qui rendent le jeu très réaliste que l'on s'attarde, et non sur la qualité graphique pure. Par exemple, la modélisation de certains stades, le public (enfin) en 3D, ou les joueurs qui s'échauffent au bord du terrain sont de véritables ajouts qui rendent ce Fifa beaucoup plus immersif.  

Le gameplay :

C'est bien sur ce point là du jeu que Fifa frappe très fort avec des améliorations intelligentes et ultra réalistes. 

- Premier point, les déplacements des joueurs sont beaucoup plus précis, finit les joueurs qui glissent sur leur pied d'appuit sur deux mètres avant de tirer. Il faudra désormais gérer ses déplacements avant de déclencher la frappe parfaite. Une petite prise en main sera nécessaire pour les néophytes.
- Puisqu'on en parle, la frappe de balle a été repensée par les créateurs du jeu, le ballon pouvant s'envoler de manières totalement différentes en fonction du joueur ou de son pied d'appui. On peut désormais déclencher une frappe lourde à la Ronaldo ou avec un effet sortant, rendant la trajectoire plus difficile à analyser pour le gardien. Une très bonne améliorations qui permet de ne plus marquer les mêmes buts à chaque match.
- La relation avec le ballon a elle aussi été repensée, avec la possibilité de protéger le ballon, une conduite de balle variable selon les joueurs et des dribbles plus précis qu'auparavant.
- Pour finir, les coéquipiers ont désormais un comportement réliste, se prenant la tête entre les mains lors d'une frappe ratée ou faisant des appels beaucoup plus efficaces.

 Les + 

- Fifa Ultimate team encore amélioré.
- Les jeux techniques qui permettent de progresser.
- L'immersion lors des matches.
- Les ajouts sur le gameplay.   

Les -

- Pas de claque graphique.
- Mode carrière pas assez immersif.

Conclusion :

Ce Fifa reste donc le maître incontesté en matière de simulation footballistique, et ne se repose pas sur ses acquis. Avec un gameplay amélioré et des modes de jeux très variés, Fifa reste fidèle à lui-même mais on attend quelques améliorations sur le mode carrière.

La note : 17/20

samedi 14 juin 2014

À peine dans le bain, l'Espagne coule déja !

À peine dans le bain, l'Espagne coule déjà !

Hier a eu lieu l'un des matches des phases de poules le plus attendu : Espagne-Pays-Bas. Un score sans appel, certains joueurs enchantés, d'autres paralysés et un résultat inattendu qui a fait l'effet d'une onde de choc ! Résumé des faits.

 

Un match très attendu :

Bien sur, ce match était le "remake" de la finale de la Coupe du Monde 2010. L'occasion pour les Pays-Bas de prendre leur revanche et pour l'Espagne de confirmer leur statut de meilleure équipe du monde. Malgré cela, Arjen Robben ne voulait pas repenser a la finale 2010 :  "C'est un match de poule qui n'est pas décisif. La défaite de 2010, je ne veux plus y penser. Je regarde vers l'avenir".
Depuis, l'Espagne a gagné l'Euro 2012 mais sa qualité de jeu a diminué progressivement, en démontre la finale de la Coupe des Confédérations perdue face au Brésil 3-0. Les Pays-Bas ont eu du mal à se remettre de leur défaite mais ont gardé le même état d'esprit et la même qualité offensive, l'arme principale des néerlandais.
Le match se déroulait au stade Arena Fonte Nova. Coup d'envoi donné à 21 heures.

L'Espagne à l'Ouest, les Pays-Bas surpuissants :

C'est pourtant l’Espagne qui ouvre le score sur un penalty de Xabi Alonso très généreusement accordé par l'arbitre. L'Espagne gère son match de manière très suffisante, et quelques minutes avant la mi-temps, Silva est lancé à la perfection en profondeur, se retrouve en face à face avec le gardien et choisit de piquer le ballon, détourné de justesse. La minute suivante, Van Persie, lancé à la perfection sur un long ballon venant de la gauche, s'envole et marque d'une tête plongeante extraordinaire. Le match est relancé et l'avantage moral est favorable aux "Oranjes".
Au retour des vestiaires, l'Espagne ne réagit pas, le jeu reste terne et les joueurs ne vont pas de l'avant, et les Pays-Bas en profitent pour enfoncer le clou avec un but de Robben puis du défenseur De Vrij sur corner. L'Espagne n'en revient pas, et la défaite tourne à l'humiliation avec un but gag de Van Persie sur un ballon perdu par Casillas dans sa surface. Les supporters espagnols ont la tête entre les mains, Del Bosque s'arrache les cheveux, Casillas a le regard dans le vide. Et malheureusement pour eux, le calvaire n'est pas finit, car Robben, après avoir éliminé Ramos d'un rush phénoménal, s'arrête devant Casillas, le contourne avant que ce dernier tombe à genou, le laissant marquer dans le but vide.
La confrontation entre ces deux géants se finit sur le score fleuve de 5-1 en faveur de l'armada offensive qu'est l'équipe des Pays-Bas.   

Le calvaire de Casillas, le duo fou Robben-Van Persie :

Dans un match, il y a toujours des joueurs qui se font remarquer, que ce soit de manière positive ou négative, et pour ce match, ce ne sont pas les joueurs qui manquent. On fait le tour. 

Casillas : Quelle soirée désastreuse le gardien madrilène a vécu hier soir! Il s'est fait remarquer sur sa perte de balle incompréhensible face a Van Persie et sa sortie beaucoup trop hasardeuse sur le but de Robben. Mais le champion du monde sauve tout de même l'honneur avec un bel arrêt face à Sneidjer en début de match et une double parade magifique en toute fin de match.
Piqué-Ramos : Et la déroute de Casillas est en partie due à cette charnière défensive fébrile et en manque de confiance. En témoigne la demande de sortie de Ramos a Casillas face à Robben, le défenseur madrilène ayant mal joué le coup face au joueur du Bayern.

Robben-Van Persie : 4 buts, une tête incroyable, une course surhumaine, deux pieds gauches magiques et les deux armes offensives les plus dangereuses de cette équipe des Pays-Bas. Sans doute l'un des plus beaux matches pour la doublette Robben-Van Persie. 

mercredi 11 juin 2014

The Division, Uncharted 4, Battlefield Hardline... Toute l'actu de l'E3 !

The Division, Uncharted 4, Battlefield Hardline... Toute l'actu de l'E3 !

Lors de l'E3 2014, de nombreux jeux ont été dévoilés ou présentés. On fait le tour des plus grosses annonces de ce salon du côté des éditeurs.

 

Chez Electronic Arts : 

- On commence tout d'abord par le nouveau Battlefield, bien différent de ses prédécesseurs. EA a laisser carte blanche au studio Visceral Games pour faire de ce Battlefield le FPS du renouveau. En effet, finit les conflits USA-Russie, on incarnera désormais des voleurs ou des policiers avec de tous nouveaux modes de jeu. Le principe reste le même, les armes aussi, mais l'ambiance est totalement différente, et on perd le côté "jeu de guerre". Sortie cet automne, à suivre donc.
Voici le lien du gameplay de Battlefield Hardline :
https://www.youtube.com/watch?v=ex1GlZS-t7c

- On continue avec la franchise de sport la plus renommée au monde : Fifa. Je vais donc vous parler ici de Fifa 15, qui sortira fin septembre normalement. EA Sports nous a dévoilé un premier court trailer d'une très bonne qualité, avec comme devise "Feel the Game". On parle donc d'un gameplay plus précis et réaliste et on attend donc une immersion encore plus importante. 

Ci-joint le trailer de Fifa 15 :
https://www.youtube.com/watch?v=TnTYVT6lwBc


Chez Ubisoft : 

- Ubisoft a été omniprésent lors de cet E3, avec de grosses licences comme Assassin's Creed Unity, dont nous allons parler tout de suite. En effet, le poulain d'Ubisoft, annoncé il y a deux mois, s'est dévoilé avec un gameplay en coop. Une annonce très positive donc, puisque le fait de ne pouvoir jouer que tout seul a un jeu action-aventure-infiltration tel qu'Assassin's Creed en a frustré plus d'un. Le jeu se déroulera comme prévu à Paris, et on aura désormais beaucoup plus de temps de jeu à l'intérieur des bâtiments, comme on le voit dans le gameplay d'Ubisoft. AC Unity tient donc ses promesses pour l'instant, on l'attend de pied ferme.

- Autre licence à renommée d'Ubisoft, Far Cry, qui fut présenté avec un trailer plus des images de gameplay très convaincantes dans l'Himalaya. Une interaction avec l'environnement très importante et particulièrement rare dans les autres FPS, sortie prévue aussi cet automne.

- Pour conclure avec Ubisoft, l'autre jeu annoncé fut The Division. Un trailer magnifique et des images de gameplay prometteuses dans un New York dévasté. Ce jeu d'aventure-RPG est très attendu par la communauté de gamers. On a aussi eu droits à des séquences de gameplay très réussies.

Le gameplay officiel de The Division :
https://www.youtube.com/watch?v=EWJD8DMasCU

Chez Naughty Dog : 

- On commence tout d'abord par l'une des annonces les plus importantes, l'arrivée en 2015 d'Uncharted 4 : A thief's end. Naughty Dog a dévoilé les premières images de son jeu avec à mes yeux, le plus beau trailer de l'E3. Une qualité graphique et artistique monstrueuse, la musique parfaitement choisie, on n'a pas vu grand chose mais le peu qui nous a été montré fut incroyable. On attend ce 4ème opus avec la plus grande des impatiences.

Le trailer officiel d'Uncharted 4 :
https://www.youtube.com/watch?v=y1Rx-Bbht5E

- Plus discret et moins incroyable, l'arrivée de la version "remasterisée" de The Last of Us sur consoles next gen. Une très bonne nouvelle pour les fans de la nouvelle licence de Naughty Dog.

Mais aussi :

- Dans le même genre qu' Uncharted, nous auront droit à un tout nouvel opus de Tomb Raider. Le jeu a été présenté lui aussi avec un trailer de très bonne augure. 

- À ne pas oublier non plus, l'arrivée d'un nouveau Call of Duty. La franchise en déclin en terme de qualité va tenter de se rattraper avec ce nouvel épisode "Call of Duty Advanced Warfare" 

  

mardi 10 juin 2014

GTA 5 enfin annoncé sur Next Gen et PC !

GTA 5 enfin annoncé sur Next Gen et PC

Lors du plus grand salon du jeu vidéo au monde, Grand Theft Auto, l'une des plus grandes franchises de l'histoire, a volé la vedette aux autres Battlefield, Uncharted ou Far Cry. GTA 5 sera donc disponible cet automne pour le plus grand bonheur des fans.

 

Présenté à la fin de la conférence Sony, l'annonce de l'incontournable de Rockstar Games a fait vibrer la planète vidéo-ludique avec un trailer d'une grosse minute capturé sur PS4. C'est le président de Sony qui a annoncé cette nouvelle très attendue.

Durant ce trailer, on remarque que l’aspect graphique est très soigné, détaillé, et d'une beauté supérieure au jeu des consoles current gen (PS3, 360). Rockstar promet en effet une meilleure distance d'affichage, une meilleure résolution et beaucoup plus de détails. Mais ce n'est pour l'instant pas une claque comme le trailer d'Uncharted ou The Division.

A propos des transferts de données, Rockstar a annoncé que seules les données et sauvegardes des personnages en ligne sur PS3/360 seront transférables vers les consoles nouvelles génération.

On apprend aussi que tout le nouveau contenu de GTA online, contenant des nouvelles armes, maisons, véhicules et autres personnalisations sera disponible sur PS4, Xbox One et PC.


Vous retrouverez ci-joint le trailer officiel de ce GTA 5 sur next gen et PC.
 http://s.ytimg.com/yts/swfbin/player-vflmTHkPE/watch_as3.swf#!flashvars#video_id=xhYd8ELgwC4

samedi 7 juin 2014

Sergio Ramos : peut-être l'année d'une vie ?

Sergio Ramos : peut-être l'année d'une vie ?

En 2014, Sergio Ramos a franchi un nouveau cap, celui d'immense joueur. Avec le doublé Ligue des champions- Coupe du Roi, des buts décisifs dans les rencontres les plus importantes, Sergio Ramos a fait une première partie d'année incroyable! Le dernier objectif pour une année en or est la Coupe du Monde. 

 

L'arrivée d'Ancelotti :

Durant l'été 2013, Mourinho quitte le Réal Madrid après 3 ans à la tête du club merengue. C'est sans doute un soulagement pour Sergio Ramos qui ne s'entendait pas avec Mourinho. C'est donc un homme totalement différent du "Special One" qui prend les rennes du Réal Madrid : Carlo Ancelotti ! L'italien, discret, attentionné et rigoureux ne paratge pas les mêmes valeurs que son prédécesseur. En effet, Ancelotti ne mise pas uniquement sur la gagne, il apprécie aussi et surtout le beau jeu. 
Mais ce n'est pas la seule spécificité d'Ancelotti, car L'italien à la particularité d'être très proche de ses joueurs, comme il le faisait à Milan par exemple. Il amène une cohésion d'équipe et un équilibre chez les joueurs. C'est sans doute cet élément qui a plu a Sergio Ramos, lui apportant la confiance et la détermination. Et ces deux caractéristiques se sont retrouvées dans son jeu, avec un jeu défensif impérial et des buts pleins de hargne et d'envie.


Le brassard de capitaine et la montée en puissance : 

Iker Casillas ne jouant pas les 38 matches de Liga, le brassard de capitaine a été donné à Sergio Ramos. Cet élément a donné au champion du monde une nouvelle dimension. 
Au fur et à mesure de la saison, Ramos est monté en puissance, parfois fébrile dans les premiers mois, manquant de rigueur, l'espagnol s'est corrigé, donnant confiance à sa défense et à son gardien. Pendant l’apogée du Réal Madrid (de décembre a mars), Sergio Ramos a tenu la baraque, mais sans se faire remarquer comme Modric par exemple. C'est surtout en avril/mai, lorsque le Réal levait un peu le pied, et lorsqu'il fallait aller chercher des titres, que Ramos a endossé son rôle de sauveur...


Une fin de saison incroyable : 

-D'abord très bon en finale de Coupe du Roi face au Barca, Sergio Ramos s'est montré exemplaire alors que la finale se jouait sans Ronaldo. Résulatat : 2-1 sur un but extraordinaire de Bale, nous offrant un sprint de 34 km/h balle au pied.
-Quelques jours après, le club merengue jouait sa demi-finale face au Bayern, le match aller remporté 1-0 à domicile ne garantissait rien à Ramos et ses coéquipiers. Le match retour fut sans doute le match de la saison pour le Réal, une victoire 4-0, avec un Sergio Ramos infranchissable, gagnant tous ses duels, et délivrant le Réal en moins de 5 minutes sur deux coups de têtes magiques, prenant sa revanche par rapport à la demi-finale de 2012, où il avait envoyé son tir au but dans les nuages, avant d'être descendu par la presse.
-24 mai 2014, 93ème minute, on joue le temps réglementaire et le Réal perd 1-0 a une poignée de secondes de la fin du match. C'est sans doute le dernier corner de la partie. Tiré par Modric, le corner atterrit sur la tête de Ramos, monté plus haut que tout le monde, qui plante une tête imparable, celle du dernier espoir, qui redonne vie à tout un peuple. Le match se termine par un score de 4-1 par des buts de Bale, Marcelo et Ronaldo. 

On voit donc que Ramos a été présent dans les moments les plus difficiles, ou plus personne n'y croyait, sauf lui, mué en sauveur pour les matches les plus importants de la saison. Sergio Ramos l'a prouvé, en considérant la forme actuelle de Thiago Silva, il est le meilleur défenseur au monde. 

Une deuxième Coupe du monde pour couronner le tout ? 

Pour que l'année 2014 soit la plus incroyable de sa vie, il ne manque plus qu'à gagner la Coupe du Monde pour notre défenseur espagnol. Déjà vainqueur il y a 4 ans, Sergio Ramos jouera cette Coupe du Monde en tant que l'un des meilleurs joueurs de la sélection espagnole. Qui sait si ce ne sera pas lui qui délivrera son peuple en finale ? Réponse dans 1 mois.